Archives mensuelles : octobre 2014

Le clin d’oeil : Quand Kenny Roberts donnait des leçons à Rainey et à Carter

L’histoire est drôle à souhait et met non seulement en lumière le champion et l’homme qu’était Kenny Roberts mais également l’esprit qui régnait à l’époque dans un Paddock où les pilotes n’étaient pas des divas capricieuses.

Nous sommes en 1984, à la veille du Grand Prix de France qui se roulait alors au Castellet.

Wayne Rayney et Alan Carter sont les pilotes de Kenny Roberts, en 250 et visiblement, la Yamaha ne fonctionnait pas comme ils l’entendaient. La suite, c’est Alan Carter qui vous la raconte.

« La 250 Yamaha ne fonctionnait pas, alors Rayney et moi, nous avons appelé notre patron, Kenny Roberts, qui a débarqué des USA au GP de France, en jet…

Il avait cessé de courir depuis deux ans.

Il nous a écouté, a réclamé un casque et une combinaison et a pris la piste du Castellet.

Il a fait cinq tours, puis est revenu, est descendu de la moto et s’est changé. Il nous avait mis une seconde au tour !

La réunion technique dura 20 secondes. Il nous dit : « Je suis sûr de deux choses :

1. Vous êtes deux têtes de bite.

2. Grimpez sur la moto et mettez du gaz.

Si vous n’avez pas de questions, je retourne en Californie… »

Cette excellente histoire, dont la véracité nous a été confirmée par Didier de Radiguès, a récemment été publiée sur Facebook par la page Quelli della MotoGP et relayée par le toujours très actif Grégory Berva. Merci Grégory de m‘avoir fait pleurer de rire ce matin !

Stay tuned !

http://www.gp-inside.com/4990/20-juin-2013/le-clin-d-oeil-quand-kenny-roberts-donnait-des-lecons-a-rainey-et-a-carter

La Sterling MK5 230 cc Black Douglas s’apprête à traverser l’Europe

Article Moto-Net.Com le Journal moto du net Paris, 23/10/2014

La Sterling MK5 230 cc Black Douglas s’apprête à traverser l’Europe sterling-mk4-04b

Le petit constructeur italo-britannique Black Douglas Motorcycles s’apprête à faire une traversée de l’Europe au guidon de sa Sterling, une moto « néo-rétro-mais-quand-même-beaucoup-plus-rétro-que-néo », afin de la faire connaître et « prouver sa robustesse ».

Au guidon d’une Sterling Countryman Deluxe MK5 230 cc, accompagné d’un photographe et d’un caméraman, Fabio Cardoni, fondateur de Black Douglas, quittera Milan (nord de l’Italie) demain pour rejoindre Birmingham (centre de l’Angleterre) dimanche soir.

La moto Sterling de Black Douglas s’apprête à traverser l’Europe
Avec ce trajet de « 1000 miles » (1609 km) entre l’usine de Milan et son premier revendeur en Angleterre, Monday Motor (Boneshaker Choppers, I Love Dust et Superrb), l’objectif de Fabio Cardoni est de « prouver la robustesse et la fiabilité de cette moto au design anglais ».

La Sterling est actuellement disponible en deux versions (Basic et Countryman Deluxe, toutes deux personnalisables à souhait), mais une version Racer et un side-car devraient voir le jour prochainement.

« A la Black Douglas Motorcycle Company, nous pensons que l’acier est plus beau que le plastique et que la simplicité est plus attirante que la complexité », explique le constructeur qui décline son monocylindre 4-temps (boîte 5 vitesses) en 125, 150, 200 et 230 cc.

Black Douglas Sterling : l’arme anti radars !

Avec son look à faire pâlir d’envie nos grands-pères possesseurs d’Indian 1200 ou autres Saroléa culbutées (réservoir plat « sottocanna » de 9 litres, cadre et monocylindre simplissimes, freins à tambour, panier en osier, klaxon replica, etc.), la Sterling surfe avec encore plus d’aplomb que ses concurrentes « néo rétro » sur la nostalgie des motos d’antan.

Au point d’en faire une véritable philosophie de vie : « nous sommes motards et nous avons appris avec les années que la vitesse ne rime pas forcément avec plaisir », explique le constructeur. « Nous sommes convaincus que l’époque moderne nous force à vivre à un rythme artificiel et que faire de la moto devrait représenter une pause, pas la continuité des moments stressants de nos journées ».

Black Douglas propose aussi plusieurs finitions pour le moteur (standard, noir ou Deluxe) et la cadre (basique, brut ou peint), ainsi qu’une multitude d’accessoires (guidons, phares, réservoirs, échappements, selles, bagagerie, boîtes de rangement en métal, panier en osier, pièces de cuir, etc.).

« La moto est entièrement montée à la main en Italie », précise Black Douglas Motorcycle interrogé par MNC : « les pièces moteur sont produites à Taiwan par un constructeur qui fabrique également les moteurs des Honda CG et des Suzuki GS, et nous les assemblons en Italie pour vérifier les tolérances ».

14 chevaux, 95 kg

Le moteur de 124,9 cc développe une puissance de 12,7 ch à 7500 tours et un couple de 15 Nm à 5500 tours, tandis que son « grand » frère de 229,5 cc monte à 14 chevaux à 6000 tours avec un couple de 18,3 Nm à 4500 tours.

La nouvelle Sterling MK5, « entièrement faite à la main », est disponible sur commande à partir de 7900 € HT (9480 € TTC en France) mais également en kit à monter soi-même pour 5450 € HT (6540 € TTC en France).

Caractéristiques techniques Black Douglas Sterling

Sterling 125 cc Sterling 230 cc
Monocylindre 4-temps 124,9 cm3 229,5 cm3
Alésage x Course 57 x 49 67 x 65
Puissance maxi 12,7 ch à 7500 tours 14 chevaux à 6000 tours
Couple maxi 15 Nm à 5500 tours 18,3 Nm à 4500 tours
Conso moyenne 35 km/l 32 km/l
Réservoir (plat)
9 litres sterling-mk4-05

Longueur
2180 mm

Largeur 620 mm (guidon standard)
Empattement 1500 mm
Hauteur 960 mm (guidon standard)
Hauteur de selle 830 mm (jusqu’à 880 mm avec le kit selle ajustable)
Poids à vide 95 kg
Capacité de chargement 190 kg
Poids brut 300 kg (selon version)
Silencieux Acier inox avec catalyseur
Freins Double tambour
Pneus avant et arrière 90/90­21″, 100/90-21″, 2,75-21″ ou 3,00-21″
Versions disponibles Standard et Coutryman Deluxe
Options, coloris et accessoires Selle ajustable, guidon en U, chapeau de réservoir, selle passager, phare “Herring Can”, Klaxon replica, bagages cuir, 28 couleurs disponibles
Prix
A partir de 9 480 €TTC (6540 € TTC à monter soi-même)

Comment dire….

Comment dire….sans dire de gros mots….

Pour dépanner un client, nous avons acheté un moteur chez un casseur
Ca semblait être une bonne affaire : 7500 kms, prix correct et une garantie
Une fois monté (c’est un 125 cm3) et démarré, un bruit métallique désagréable apparait, suivant le régime de fonctionnement.
Après contrôle, c’est bien interne au moteur.
Appel vers le fournisseur, discussion….responsable pas là (vacances), envoi de mails (pas échange….envoi)…et silence radio
A chaque appel, le responsable n’est pas joignable…..jusqu’à ce matin
Et là, surprise : « ça fait plus d’un mois, allez vous faire cuire un œuf !! »
« On ne rembourse pas, et on s’en fout de la mauvaise publicité, on est des cadors, rien ne peut nous atteindre »

Hé bien soit, allons-z-y pour la publicité

Il est question de la Sté AGPL, basée à Chavanoz à coté de Lyon.

Quand on voit comment elle se comporte avec un professionnel (donc supposé lui commander du matériel de façon récurrente), vous imaginez comment elle va se comporter avec un particulier !!

Ils ont un joli site Internet, assez bien foutu, mais ils se comportent comme des margoulins
Comme les vendeurs de pièces détachées d’occasion ne manquent pas, vous pouvez éviter celui là